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Il perd son permis et envoie des selfies aux gendarmes depuis les plages de Phuket

Un automobiliste français, après s’être vu retirer son permis de conduire, n’a rien trouvé de mieux à faire que de narguer les forces de l’ordre… depuis l’autre bout du monde. Voici l’histoire insolite d’un contrevenant qui a transformé sa mésaventure en carte postale ensoleillée.

« Quatre mois, ça peut paraître long, mais quand on les passe au soleil, c’est plus facile »

L’affaire débute lorsque, le vendredi 24 janvier, une carte postale au timbre exotique atterrit sur le bureau des gendarmes du peloton motorisé de Mios, en Gironde. Elle provient d’un automobiliste dont le permis a été suspendu pour une durée de quatre mois. Loin de se laisser abattre par la sanction, notre protagoniste prend la direction de la Thaïlande et décide de partager son expérience avec les gendarmes d’une manière plutôt originale.

Autre nouvelle insolite :   Il refuse que son frère soit son témoin de mariage à cause de...

La carte porte un message à la fois taquin et ensoleillé : « Quatre mois, ça peut paraître long, mais quand on les passe au soleil, c’est plus facile ». Une philosophie de vie qui a de quoi faire sourire, même si elle émane d’un individu qui avait failli aux règles de la route.

« Après, on ne peut pas vous en vouloir, on ne vous apprend pas le discernement »

La réaction des gendarmes ne se fait pas attendre. Ils investissent leur page Facebook pour partager l’anecdote avec leurs abonnés. Ils rappellent avec malice que, malgré son séjour tropical, le contrevenant doit toujours s’acquitter des frais de fourrière et de l’amende correspondant à son infraction.

Autre nouvelle insolite :   L'horreur : elle décède après une opération bénigne, trois mois avant son mariage !

La conclusion de la carte postale laisse entrevoir la désinvolture du vacancier : « Après, on ne peut pas vous en vouloir, on ne vous apprend pas le discernement ». Une pique à laquelle les gendarmes répondent par une invitation non dénuée de sarcasme : « Rendez-vous au retour… nous l’attendrons bien équipés avec nos jumelles, notre éthylotest et notre kit de dépistage stupéfiant ».

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