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Pour éviter de payer l’addition au restaurant, il simule… des malaises cardiaques !

Un homme avait simulé vingt fois une crise cardiaque dans divers restaurants pour… éviter de payer l’addition !

Un faux touriste lituanien de 50 ans simulait des crises cardiaques pour éviter de payer ses additions dans les restaurants d’Alicante. Les policiers du pays lui ont donné un petit surnom : el gastrojeta, ce qui signifie l’escroc des restaurants gastro en français.

Depuis plus d’un un an, il mangeait dans les restaurants d’Alicante habillé comme un riche touriste. Il commandait toujours la salade russe, l’entrecôte ou la paëlla au homard, ainsi que le meilleur whisky de la carte.

Il se jette par terre, et simule son malaise habituel…

Une fois le repas fini, face à l’addition, il mettait la main sur son cœur et s’effondrait. Il simulait un malaise cardiaque qui lui permettait de partir sans payer.

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La semaine dernière, un restaurateur qui avait entendu parler de ce faux touriste comédien, l’a vu venir…

Après ses trois whiskys et sa paëlla, le serveur lui présente l’addition, 34 euros 85.

L’homme annonce qu’il va aller chercher de l’argent à l’hôtel. Cependant, le serveur ne veut rien entendre. Il se jette par terre, et simule son malaise habituel.

Le restaurateur appelle aussitôt la police qui reconnaît sur le champ le faux malade : c’est la vingtième fois qu’ils l’arrêtent en un an.

En cellule, l’homme « gardait son sourire et demeurait calme »

Selon un policier, le faux touriste « gardait son sourire et demeurait calme » lors de chaque arrestation.

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L’homme qui se fait passer pour un touriste est en fait un habitant d’Alicante.

D’habitude, l’homme passait la nuit en cellule avant d’être jugé et de repartir libre : le prix des additions n’était à chaque fois pas trop élevé.

Le patron du restaurant a transmis sa photo à ses collègues d’Alicante, qui ne le serviront plus. Ils envisagent maintenant de déposer une plainte commune. Au total, l’escroc devrait rembourser plus de 20 restaurants à hauteur de 800 euros.

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