Le faux agent de la BRAV-M joue sa dernière carte en appel après son coup d’éclat dans TPMP

Dans le monde impitoyable du spectacle et des médias, l’affaire du faux policier de la Brav-M sur TPMP rebondit avec un nouveau chapitre judiciaire. Accrochez-vous pour un plongeon dans les méandres de cette controverse qui ne cesse de tenir en haleine l’opinion publique et les aficionados de l’émission décalée de Cyril Hanouna.

Un épisode de « Touche pas à mon poste ! » (TPMP) continue de faire des vagues deux ans après sa diffusion. Quatre individus, arborant des insignes de police et présentés comme membres de la Brav-M, avaient alors créé la polémique. Ce quatuor s’avérait être des usurpateurs, et l’un d’eux, Cédric Vladimir, a été récemment condamné à 1000 euros d’amende suite à cette mascarade.

Cédric Vladimir reconnaît une « erreur »

L’audience de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité a abouti à une proposition du procureur qui a conduit à l’amende pour « usage public d’insigne pouvant créer une méprise avec ceux de la police ». L’ex-policier Cédric Vladimir, qui avait déjà été révoqué de ses fonctions trois mois avant l’émission, n’entend pas en rester là. Il exprime son intention de faire appel.

Cédric Vladimir reconnaît une « erreur » mais met en avant une certaine responsabilité de la production de TPMP, affirmant qu’elle était au courant que le groupe n’appartenait pas réellement à la Brav-M. La production aurait ainsi mal communiqué sur leur identité réelle.

La répercussion de cette affaire ne s’est pas limitée à la sphère médiatique : les trois autres policiers impliqués ont reçu des sanctions disciplinaires, et Cédric Vladimir évoque des impacts professionnels potentiels. Sa nouvelle carrière dans la sécurité privée pourrait être compromise par la mention de cette condamnation sur son casier judiciaire.

L’espoir d’une relaxe lors de la prochaine audience en septembre

Déterminé à blanchir son nom, Cédric Vladimir prépare sa défense et annonce vouloir porter plainte contre la programmatrice de l’émission, tout comme ses trois comparses. De plus, il envisage une plainte auprès de l’IGPN contre les conditions de sa garde à vue.

Cette affaire, loin d’être clôturée, promet encore des rebondissements. Le faux policier de la Brav-M, qui a bravé les projecteurs de TPMP, se retrouve désormais sous ceux de la justice, avec l’espoir d’une relaxe lors de la prochaine audience en septembre.