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Divorce inédit : condamné à payer une pension alimentaire pour… ses chats !

Dans un monde où chaque détail de notre vie quotidienne peut devenir une histoire à partager, certains événements insolites captent l’attention bien au-delà des frontières habituelles. C’est le cas d’une récente décision de justice à Istanbul qui redéfinit le concept de responsabilité et de soin post-divorce, non pas pour des enfants, mais pour deux membres à quatre pattes de la famille : des chats.

Un tribunal d’Istanbul a validé une pension alimentaire pour les chats

L’affaire commence comme un divorce classique, mais elle prend une tournure peu commune lorsqu’il s’agit de la garde des animaux de compagnie. Buğra et Ezgi, un couple sans enfants, ont décidé d’un commun accord lors de leur séparation que Ezgi garderait leurs deux chats. Cependant, la singularité de cette affaire réside dans l’engagement de Buğra à contribuer de manière significative aux besoins de ses anciens compagnons félins.

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En effet, un tribunal d’Istanbul a validé une pension alimentaire pour ces chats, somme qui s’élève à environ 200 euros tous les trois mois. Cette contribution est prévue pour durer dix ans, un engagement financier qui équivaut à celui d’un parent pour son enfant.

Cet accord inédit entre les parties dépasse les cadres imposés par le Code civil turc

L’avocate stambouliote, Aylin Esra Eren, nous éclaire sur l’aspect juridique de cette histoire. Les puces électroniques jouent un rôle crucial dans la détermination de la responsabilité légale en cas de problèmes. Le détenteur de ces puces, en l’occurrence Ezgi, est chargé de la garde et de la surveillance des animaux.

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Cette mesure pourrait bien créer un précédent juridique à travers lequel la prise en charge financière des animaux domestiques pourrait être assimilée à celle des enfants dans les affaires de divorce. La loi turque stipule déjà que l’abandon d’un animal pucé constitue un délit.

Cet accord inédit entre les parties dépasse les cadres imposés par le Code civil turc, qui ne prévoit pas de pension en l’absence d’accord sur les animaux domestiques. La décision d’Ezgi et Buğra souligne une sensibilité croissante envers le bien-être animal et pourrait ouvrir la voie à des arrangements similaires dans d’autres juridictions.

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