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Un gérant de bar condamné à 30 ans de prison pour avoir transformé un client en momie bétonnée !

Dans la pittoresque ville de Nice, un fait divers sordide a secoué la quiétude de la Côte d’Azur. L’affaire qui vient de connaître son dénouement devant la justice s’apparente à un thriller macabre, une histoire qui pourrait émaner tout droit d’un scénario de film noir.

Le gérant, un homme de 58 ans, a été condamné à une peine exemplaire de trente ans de réclusion criminelle

Le lieu du drame, un établissement nommé « L’Atrium », se situe non loin de l’emblématique promenade des Anglais. Ce bar, où se mêlaient discussions animées et parties de PMU, est devenu la scène d’un crime glaçant. Le gérant, un homme de 58 ans, a été condamné à une peine exemplaire de trente ans de réclusion criminelle pour avoir ôté la vie à un client dans un accès de colère et avoir ensuite momifié son corps dans un bloc de béton. Une peine qui correspond à la demande de l’avocat général et qui marque la gravité des faits.

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Malgré les traces de lutte mises au jour par la police…

La disparition de M’hand Goumiri, un trentenaire, avait rapidement orienté les enquêteurs vers le bar en question. Les appels répétés de la victime au gérant, ce soir fatal de février, laissaient présager d’un conflit entre les deux hommes. Malgré les traces de lutte mises au jour par la police, la découverte la plus horrifique fut ce « sarcophage » en béton dévoilé dans la cave de l’établissement, renfermant le corps momifié de la victime.

Tout bascule lorsque le gérant, excédé par les appels de Goumiri, confie le téléphone à un client boxeur, également présent ce soir-là. Les choses s’enveniment et les invectives fusent, aboutissant à une rixe brutale. L’ancien sportif, âgé de 38 ans, n’échappe pas à la justice et écope de cinq ans de prison ferme, notamment pour non-assistance à personne en danger et modification de scène de crime. Ce verdict dépasse même les réquisitions du parquet, qui avait initialement demandé trois ans ferme.

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Devant la cour, le gérant a exprimé des remords, clamant n’avoir jamais eu l’intention de tuer. Quant au boxeur, il décrit une scène où la peur du gérant et de son pistolet l’aurait paralysé, l’empêchant d’agir ou d’alerter les secours. Les avocats des deux hommes ont d’ores et déjà annoncé leur intention de faire appel de ces décisions.

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