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Un élève sauvagement attaqué au marteau !

Dans les rues tranquilles de Sainte-Geneviève-des-Bois, une brutalité inouïe s’est invitée aux abords du lycée Langevin, plongeant la communauté éducative et les riverains dans la stupeur. Mercredi dernier, un adolescent n’a eu d’autre choix que d’affronter la violence sous sa forme la plus dévastatrice. Nous nous penchons sur ce drame qui a non seulement marqué les esprits mais a également révélé des tensions territoriales profondes.

« Traumatisme facial, dents brisées, multiples fractures »

Les faits se sont déroulés en plein jour, juste après la pause déjeuner, à une heure où les rues résonnent habituellement du brouhaha des élèves. La victime, un garçon de 16 ans, a été découverte dans un état grave, allongée sur le pavé, le visage portant les stigmates d’une agression extrêmement violente. Les secouristes, alertés, se sont rapidement rendus sur place, faisant face à un spectacle déchirant : le jeune homme, inconscient, présentait des blessures sérieuses, notamment à la tête. D’après une source proche de l’enquête, le bilan était lourd : « traumatisme facial, dents brisées, multiples fractures ». La liste des sévices subis évoque un déchaînement de cruauté dont les causes restent encore à éclaircir.

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« Violences avec arme en réunion »

Dans la foulée de cet acte inqualifiable, huit suspects, âgés de 13 à 15 ans, ont été appréhendés par les forces de l’ordre. L’un d’entre eux, pris en flagrant délit de dissimulation d’une arme – un marteau –, a été directement associé à l’agression. Tous résident à Saint-Michel-sur-Orge et semblent avoir des liens avec les Aunettes, un quartier connu pour être le théâtre de vives tensions avec le Champtier du Coq, d’où est originaire la victime.

Les investigations s’orientent vers une nouvelle manifestation de cette rivalité qui a déjà donné lieu par le passé à des affrontements. Les motifs de cette haine inter-quartiers demeurent troubles, mais les conséquences sont, elles, tragiquement concrètes. Les autorités ont ouvert une enquête pour « violences avec arme en réunion », soulignant la gravité des faits et la détermination à faire la lumière sur cet épisode sanglant.

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