Le post le plus célèbre de TikTok a déjà attiré 3,6 milliards de curieux !
Dans le monde éphémère et souvent déconcertant de TikTok, une curiosité a récemment déferlé sur les fils d’actualité du monde entier : une vidéo, qui ne montre absolument rien d’autre qu’un écran noir, a récolté un nombre sidérant de vues. Plongeons dans ce phénomène insolite qui remet en question notre conception du contenu viral.
Une séquence vidéo d’une durée de quelques secondes
Imaginons une vidéo qui ne nécessite aucune compétence particulière, aucun effet spécial, pas même un visage ou une voix pour devenir la sensation du moment. C’est exactement ce qui s’est produit avec la fameuse vidéo de Lasi sur TikTok. Avec plus de 3,6 milliards de vues enregistrées en deux ans, cette production minimaliste est devenue la vidéo la plus regardée de la plateforme.
Cette séquence vidéo d’une durée de quelques secondes, sans aucun contenu visuel si ce n’est qu’un fond noir, a réussi à susciter un intérêt massif. L’astuce? Une fois la vidéo terminée, elle reprend automatiquement depuis le début, piégeant les spectateurs dans une boucle sans fin.
Ces interrogations légitimes témoignent de la perplexité générale qui entoure cette vidéo atypique
La surprise et l’incompréhension ont été les réactions principales des internautes face à l’ampleur du phénomène. Certains commentaires relayés par des sources médiatiques comme Dexerto expriment clairement cet étonnement : « 3,7 milliards de vues pour un écran noir, c’est fou » ou « Pourquoi cette vidéo a-t-elle autant de vues? ». Ces interrogations légitimes témoignent de la perplexité générale qui entoure cette vidéo atypique.
Pourtant, si l’écran noir de Lasi bat des records de vues, il n’atteint pas le sommet en ce qui concerne les « j’aime ». En effet, avec seulement 1,1 million de likes, il est loin derrière le clip de Bella Poarch qui interprète le playback de « M to the B » de Millie B., cumulant plus de 69,8 millions de j’aime. Ce décalage souligne la différence entre la quantité de vues et l’engagement du public en termes d’appréciation du contenu.