Ivre, il mord les parties intimes de son convive qui finit aux urgences !
Dans l’ombre des ruelles de Bordeaux, une soirée qui avait tout pour être une agréable rencontre entre amis a pris une tournure pour le moins insolite et déconcertante. Un incident peu commun qui a résonné dans les couloirs de l’hôpital et fait les gros titres des journaux locaux. Une rencontre festive s’est terminée en une urgence médicale et judiciaire, après qu’un invité a été victime d’une attaque tout à fait inattendue.
Une soirée arrosée qui vire au cauchemar
Le déroulement de la soirée du 7 mai semblait s’inscrire dans la normalité, jusqu’à ce qu’un acte imprévisible vienne perturber la tranquillité de l’assemblée. Alors que les convives s’adonnaient aux joies de la célébration, la victime, présente avec son épouse, s’est retrouvée au cœur d’une situation aussi soudaine qu’effroyable. Le locataire des lieux, vraisemblablement sous l’emprise de l’alcool, a perdu tout contrôle et s’est jeté sur l’invité dans une intention qui reste à ce jour incompréhensible.
Les secours appelés en urgence
Les services de secours n’ont pas tardé à répondre à l’appel désespéré, intervenant au milieu de la nuit pour prendre en charge la victime. Les médecins du Centre d’accueil en urgence de victimes d’agression (Cauva) ont immédiatement attesté de la gravité de la situation, se basant sur les preuves visuelles des blessures subies. La victime a été forcée de passer quarante-huit heures à l’hôpital Saint-André, un séjour imprévu et traumatisant, marqué par un incident que nul n’aurait pu prévoir.
Le flou des souvenirs et les suites judiciaires
Quant à l’agresseur présumé, malgré un taux d’alcoolémie alarmant, son manque de souvenir ne l’a pas exempté des conséquences de ses actes. Dans les locaux du commissariat central, les policiers du groupe d’appui judiciaire ont été confrontés à un individu incapable de reconnaître ou de nier les faits qui lui étaient reprochés. Néanmoins, le processus judiciaire suit son cours, l’auteur présumé étant confronté à la réalité de son acte, avec une convocation pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.