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Erreur de l’hôpital : il pense répandre les cendres de sa mère… mais ce sont celles d’une inconnue !

Découvrez le renversement de situation incroyable qui a eu lieu dans la ville de Marseille : un échange de corps par erreur qui a conduit à une dispersion de cendres malencontreuse et à une enquête ouverte pour faire la lumière sur cette affaire.

Une enquête minutieuse est désormais en cours

Dans un retournement de circonstances aussi tragique que surréaliste, un marin pêcheur de Marseille a fait face à une réalité déchirante : les cendres qu’il a dispersées en mer, pensant rendre un dernier hommage à sa mère, appartenaient en fait à une autre personne. Ce n’est que des mois plus tard que la vérité a éclaté, révélée par la brigade criminelle et confirmée par le procureur de la République de Marseille. Une enquête minutieuse est désormais en cours pour déterminer les contours de cette incroyable confusion et éviter qu’une telle situation ne se reproduise.

L’Assistance publique hôpitaux de Marseille a présenté ses excuses

L’histoire commence par une découverte macabre : le corps sans vie d’une octogénaire dans son salon, qui déclenche par la suite tout un enchaînement de procédures. Suite à un examen médico-légal concluant à une mort naturelle, le fils endeuillé, Stéphane Avedissian, engage alors les démarches pour les obsèques, tout en respectant les dernières volontés de sa mère pour une incinération. Mais c’est lors de la cérémonie que les premiers doutes s’insinuent, quand il lui est refusé de voir le corps de sa mère avant la crémation. Empli de questionnements, mais forcé d’accepter, il ne se doute pas encore de l’erreur qui vient de s’immiscer dans ces moments de deuil.

Ce n’est que bien après que les cendres aient été remises à la mer que la vérité a frappé tel un coup de tonnerre : la police, après une investigation, révèle l’échange de corps accidentel. C’est un choc non seulement pour la famille Avedissian mais aussi pour l’autre famille impliquée dans cette méprise. Face à cette situation, l’Assistance publique hôpitaux de Marseille a présenté ses excuses et s’engage à prendre en charge les nouvelles funérailles, tandis que l’Institut médico-légal s’implique dans une révision complète de ses procédures.

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