Elle songe à l’impensable après une infidélité : les révélations choc d’une épouse bafouée !
L’amour peut parfois ressembler à un conte de fées, mais lorsque la réalité frappe, elle peut avoir la force d’un coup de tonnerre. C’est une histoire de trahison et de faux-semblants qui nous est parvenue, celle d’une femme qui a découvert que son idylle romantique n’était qu’une toile tissée de mensonges.
Les rendez-vous étaient dignes de scènes cinématographiques
Liza Dezfouli, 64 ans, pensait avoir trouvé l’homme de sa vie, un partenaire qui semblait tout droit sorti d’un film romantique. Pendant plus de dix ans, elle a vécu aux côtés d’un homme qu’elle décrivait comme cultivé, cosmopolite et charmeur. Un compagnon qui, par ses attentions et son romantisme, l’avait fait rêver. Les rendez-vous étaient dignes de scènes cinématographiques, comme ces pique-niques sous les étoiles au son du jazz, ou ces virées à San Francisco au volant d’une Ford Mustang convertible, avec Aretha Franklin en bande sonore.
Les alarmes se sont mises à retentir
Mais derrière cette façade idyllique, Liza s’est rapidement heurtée à des comportements étranges. Son compagnon était fréquemment indisponible et se montrait distant, refusant toute intimité qui laisserait des marques et évitant d’utiliser son prénom. Les alarmes se sont mises à retentir lorsqu’elle a réalisé qu’aucune rencontre avec ses amis ou sa famille n’avait eu lieu en dix ans de relation.
La confrontation avec son partenaire n’a fait qu’apporter des réponses évasives et des explications trop convenues pour être honnêtes. C’est en investiguant sur l’une de ses supposées « associées » que Liza a découvert l’impensable : cette femme était en réalité la partenaire régulière de l’homme qui partageait sa vie. Et lorsque la supercherie a été mise au jour, elle a appris que non seulement elle, mais aussi au moins dix autres femmes avaient été emmenées à San Francisco, témoignant de la duplicité de celui qu’elle avait tant aimé.
Malgré la douleur de cette trahison, Liza Dezfouli n’a pas perdu son sens de l’humour. Elle raconte avec un sourire que, si elle avait agi en fonction de ses émotions du moment, elle aurait peut-être été acquittée par n’importe quel jury connaissant l’histoire. Une manière de conclure avec légèreté sur une expérience qui a néanmoins laissé des traces indélébiles.