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Elle ouvre sa porte et se fait poignarder avec son fils !

Dans la paisible commune de Lucé, à l’ombre des tranquilles rues de l’Eure-et-Loir, un drame soudain vient ébranler la quiétude des riverains. Deux personnes, une mère et son fils, ont été les cibles d’une agression glaçante, chamboulant la vie de cette petite communauté. Retour sur les faits qui ont suscité l’émotion et l’interrogation à l’échelle locale et bien au-delà.

Un état grave

Jeudi 13 février, alors que la fin d’après-midi approchait, le calme de la petite ville de Lucé a été rompu par une agression des plus violentes. Une femme de 65 ans et son fils de 42 ans ont été attaqués à leur domicile par un individu armé d’un couteau de cuisine. La porte de leur appartement au rez-de-chaussée s’est transformée en scène de crime lorsque l’assaillant a frappé, plongeant ses victimes dans un état grave.

Les victimes ont été plongées dans un état d’urgence absolue

La mère a subi une blessure particulièrement sévère au ventre, entraînant « une éviscération avec beaucoup de perte sanguine », tandis que son fils a reçu un coup au thorax. Heureusement, un voisin a été témoin de la fuite du fils blessé et a immédiatement alerté la police, permettant une intervention rapide. Transportées au Centre hospitalier du Coudray, les victimes ont été plongées dans un état d’urgence absolue, bien que leur condition soit désormais stable.

À quelques dizaines de mètres de la scène, un homme couvert de sang a été appréhendé « sans difficulté ». Ses vêtements témoignant de l’acte barbare, il n’a pourtant fourni aucune explication cohérente aux forces de l’ordre. Ce ressortissant marocain de 38 ans, présent en France depuis 2002, était déjà sous le coup d’une hospitalisation sous contrainte. Sa garde à vue a été levée au profit d’une nouvelle hospitalisation, son état mental n’étant pas compatible avec les procédures judiciaires.

Le passé du suspect est marqué par des condamnations pour trafic de stupéfiants, violences, port d’armes et rébellion. Ironie du sort, il avait été jugé pénalement irresponsable pour des faits similaires en 2020. Sa situation administrative se complexifie avec une carte de résident non renouvelée et un séjour provisoire de six mois en cours de délivrance.

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