Elle a caché son bébé dans un tiroir pendant trois ans !

Dans un choc récent qui secoue le Royaume-Uni, l’incroyable récit d’une réalité cruelle s’est frayé un chemin jusqu’aux colonnes judiciaires. L’histoire d’une enfant de trois ans, confinée dans l’obscurité d’un tiroir par sa propre mère, ouvre un débat troublant sur la négligence et la maltraitance enfantine.

Sept ans et six mois de prison

C’est une affaire qui semble surgir tout droit d’un sombre conte de fées, où un enfant, privé de lumière et d’affection, a été découvert après trois années de silence. La BBC rapporte le cas d’une femme résidant dans le Cheshire, qui a été condamnée à sept ans et six mois de prison pour avoir soumis sa fille à une « négligence extrême ». Ce n’est que grâce à un visiteur, intrigué par des pleurs mystérieux, que le sort de la petite fille, enfermée depuis sa naissance, a été mis en lumière.

Des conséquences graves sur la santé de la petite fille

Lors de l’intervention d’une assistante sociale, le tableau effroyable a été dressé. L’enfant, dont le nom a été préservé, était caché dans un tiroir, une situation qu’une mère, dans une apparente indifférence, a admise comme normale. Les descriptions de l’assistante sociale révèlent un environnement dépourvu de soins et d’interactions humaines, où l’enfant semblait n’avoir jamais reçu d’amour ni d’attention. Les anomalies physiques et les problèmes de santé de la fillette attestent de l’absence de soins médicaux.

Prise dans les mailles de la justice, la mère a tenté de justifier son acte en évoquant un accouchement inattendu et une peur panique suite à des violences conjugales. La mère avait peur d’en informer le père.

Elle a également soutenu que l’enfant n’était pas constamment confiné et qu’elle lui permettait parfois de sortir du tiroir. Cependant, lors du procès, ce discours a été balayé par le juge qui a souligné le sort inhumain infligé à l’enfant, qui était, selon lui, « privé de tout amour ». Le verdict est tombé comme un couperet : la mère a été condamnée pour son « terrible secret » et la petite fille, désormais libérée, tente de se reconstruire, progressivement.