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Ces athlètes des JO recalés en boîte de nuit : on vous explique pourquoi !

Dans le tourbillon de la nuit parisienne, les héros des Jeux Olympiques de Paris 2024 ont vécu des moments mémorables. Les éclats de médailles se mêlant aux lumières tamisées des clubs les plus en vue de la capitale, certains se sont vu refuser l’entrée pour des raisons inattendues. Décryptage d’une situation qui a marqué la fin des festivités olympiques.

Des lieux tels que Le Deflower et L’Arc ont été les épicentres de ces festivités

Au cœur de la Ville Lumière, les médaillés olympiques ont troqué leurs tenues de sport pour des habits de fête, investissant les boîtes de nuit avec l’énergie du triomphe. Des lieux tels que Le Deflower et L’Arc ont été les épicentres de ces festivités, où champions de natation et figures du rugby se sont laissé emporter par la musique et l’ambiance électrisante.

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Ces établissements prestigieux, bien que habitués aux débordements de célébrités, ont conservé leur aura d’exclusivité, comme en témoignent les expériences de figures telles que Léon Marchand et Teddy Riner, qui ont oscillé entre plusieurs clubs pour célébrer leurs accomplissements.

« On leur a dit qu’on adorait les avoir mais qu’il fallait qu’ils fassent un effort vestimentaire »

Toutefois, la médaille ne suffit pas toujours pour franchir les portes de ces temples de la nuit. Le patron du Medellín a confié au Parisien que l’accès avait été refusé à certains athlètes en raison de leur tenue peu conforme. « Ils sont venus en maillot de bain, en jogging. On leur a dit qu’on adorait les avoir mais qu’il fallait qu’ils fassent un effort vestimentaire », a-t-il expliqué. Cela souligne l’importance du dress code dans ces lieux hautement sélectifs.

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Malgré l’image de décadence souvent associée aux boîtes de nuit, les fêtards médaillés ont fait preuve d’une étonnante retenue. Aucun n’a succombé à la tentation de la bouteille de champagne à 100.000 euros proposée chez L’Arc. « Ils sont plus raisonnables, ils passent une heure ou deux seulement », précise le directeur de l’un des clubs. Il semblerait que l’esprit olympique inclut aussi une certaine modération, même au cœur de la fête.

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